Pour ne pas être défaite par tes noirs trop intenses, je reconnais ce qui ne m’appartient pas. Tu ne veux pas morceler ce bonheur que je t’offre. Je ne veux pas être mise en mémoire. Ce n’est pas possible vivre comme ça. Je ne détiens pas tout. Il faudra encore du temps pour. Séparer. Ne pas te convaincre. Non. Cesser. De. Chercher. Ce qui. T’oublie. Cette urgence qui à tout moment vient t’épuiser. Un réceptacle. Ce code morcelé.
Qui m’entend. Et. Avoir. Tant. De compassion pour soi. Devient. Ridicule. Car. Inconsolable. Je cherche dans le miroir de mon âme et je trouve mon corps esseulé. J’ai compris. Me retenir. Ne fait plus de sens. J’étais bonne à tout faire sauter. Là. Je pressens. L’inutile de la démarche. Car. J’ai saisi. La vie poursuit la mort. Et la mort. Il faut l’enterrer.
Qui m’entend. Et. Avoir. Tant. De compassion pour soi. Devient. Ridicule. Car. Inconsolable. Je cherche dans le miroir de mon âme et je trouve mon corps esseulé. J’ai compris. Me retenir. Ne fait plus de sens. J’étais bonne à tout faire sauter. Là. Je pressens. L’inutile de la démarche. Car. J’ai saisi. La vie poursuit la mort. Et la mort. Il faut l’enterrer.
Où es-tu? Que fais-tu? À quoi tentes-tu de ne plus penser. Tu dois. Savoir. Avoir peur. De. Me. Non. Ton cri étouffé n’en peu plus. Ne meurt pas. Trop merveilleux pour sombrer. Chimiquement indomptable. Je t’habillerai jusqu’à la fin.
Ces phrases courte, mots seuls parfois coupent le souffle.
RépondreSupprimerj'aime "seulement y penser me hurle."
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